« Je crois que la littérature est la somme la plus précieuse que l’humanité s’est donnée pour se comprendre. Les sociétés humaines, les tribus et les nations deviennent intelligentes, s’enrichissent et s’élèvent dans la mesure où elles prennent au sérieux leur littérature, où elles écoutent leurs écrivains. », estime l’écrivain turc Orhan Pamuk, auteur notamment de La valise de mon père, et qui est à l’origine du Parlement européen des écrivains (European Writers’ Parliament) qui s’est tenu à Istanbul en novembre 2010.
Signe que la littérature n’est pas simple invitation au voyage, une source d’évasion vers un orient vendu par des brochures de rêve, mais une injonction au déplacement, à se faire soi-même et autre, ici et là ; à la métaphore au sens propre du terme. Et ce sens est aussi géographique.
Nous partageons le choix de Dalila Choukri, Professeur de Lettres à Genève et Présidente du Festival International du Film Oriental de Genève, (FIFOG).
1. Le Quartier américain de JABBOUR DOUAIH
2. Mauvais sang ne saurait mentir de WALTER KIRN
3. Notre famille de AKHIL SHARMA
4. Parapluie du déjanté de WILL SELF
5. L’ultime auberge de EMRE TERKESZ
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